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Groupes: Jamoriquai | Discographie | Travelling Without Moving | Critiques |
1996
Travelling Without Moving deepens the acid-jazz and '70s soul fusions of Return of the Space Cowboy, yet it doesn't have the uniform consistency of its predecessor. Nevertheless, Jamiroquai's fusions sound more fully realized with each outing, which makes its patchy songwriting forgivable. Stephen Thomas Erlewine,All-Music Guide
TRADUCTION: Travelling Without Moviong approfondit les fusions d'acid-jazz et de soul des seventies de Return of The Space Cowboy, bien qu'il n'ait pas la consistence uniform de son prédécesseur. Néanmoins, les fusions de Jamiroquai sont de mieux en mieux réalisées à chaque sortie, ce qui rend les paroles inégales pardonnables. Spontanéité et folie groove pour pistes de danse, le Jamiroquai nouveau est dans les bacs. La recette de ce troisième album ? Naturel et fraîcheur; de l'acid jazz injecté de soul sucrée et de rythmes aussi simples qu'enlevés, coktail idéal pour laisser place aux étonnantes capacités vocales de Jason Kay, l'étonnante star à la tête de bison. Plus entraînant que jamais, "Travelling Without Moving" risque de provoquer une nouvelle déferlante. Rien que pour le plaisir. Il a fallu deux albums pour que Jamiroquai soit reconnu mondialement et pour qu'il affirme son style original qui redéfinit aujourd'hui les paramètres de la musique soul. La volonté du groupe à apporter à son public un son nouveau est évidente sur leur troisième album "Travelling Without Moving". Carton plein pour Jamiroquai en Grande Bretagne, en France, en Europe, aux USA, "Travelling Without Moving" fusionne gracieusement les sons "old scholl" aux nouveaux rythmes groove et offre des paroles conscencieuses et réfléchies, ce qui a pour résultat un disque funky qui est à ce jour le travail le plus accompli de Jamiroquai. Jason (Jay) Kay has always had musical influences in his life. His mother was a jazz singer, and he would frequently tag along on her gigs. Later he fell in love with soul and jazz-soul fusion from the '70's, and he set out to create a band that would pay respect to those influences but also have its own identity. That band is Jamiroquai, named for Jay's interest in the Iroquois nation and his desire to make music that jams. On their latest album, "Travelling Without Moving", Jamiroquai once again combines rhythms that make you move with lyrics that make you think. TRADUCTION: Kay a eu des influences musicales toute sa vie. Sa mère était une chanteuse de jazz, et il la suivait fréquemment dans ses concerts. Plus tard, il est tombé amoureux de la soul et de la fusion jazz-soul des seventies, et il décida de créer un groupe qui respecteraient ces influences, mais qui aurait aussi sa propre identié. Ce groupe est Jamiroquai, nommé ainsi pour l'intérêt que Jay porte sur la nation Iroquoise et son désir de faire une musique qui bouge (to jam en anglais, NdT). Sur leur dernier album, Travelling Without Moving, Jamiroquai une fois de plus combine des rythmes qui vous font bouger avec des paroles qui vous font penser. The moment Jamiroquai broke into the charts in 1993, a nation of soul fans was split. Half jumped into their Adidas Gazelles and danced, celebrating the emergence of a West London soulboy outspoken about the use of real musicians and instruments. The other half took offence at what they saw as shameless retro posturing. In a hat. Travelling Without Moving isn't going to clear the issue up any. Tighter and more compact in its production than the epic funk arrangements of the band's previous record, The Return Of The Space Cowboy, it takes the small group soul sound that characterised Jamiroquai's debut and gives it a fat, squashy disco feel. But no-one with ears can deny Jason Kay's musicality & he's an extraordinary singer, and proves it here, injecting the entire project with an arrogant, contemporary energy. Linton Chiswick pour Q
TRADUCTION: Au moment où Jamiroquai entra dans les charts en 1993, une nation de fan de soul se scinda. La moitié sauta dans leurs Adidas Gazelles et dansa, célébrant l'émergence d'un chanteur de soul du Ouest de Londres faisant parler de lui en utilisant des vrais musiciens et des vrais instruments. L'autre moitié prit offense à ce qu'il virent comme un honteux retour au rétro. Travelling Without Moving ne va sûrement pas élairer quelque issue. Plus serré et compact dans sa production que les épiques arrangements funk de leur album précédent, The Return Of The Space Cowboy, il prend le son soul du petit groupe qui caractérisait Jamiroquai à ses débuts, et lui donne une grosse touche disco. Mais personne muni d'oreilles ne peut nier la musicalité de Jason Kay et c'est un chanteur extraodinaire, et il le prouve ici, injectant le projet tout entier d'une arrogante énergie contemporaine. |